Mercredi 01/06/2011
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Mercredi 01/06/2011
Retour du cours de mercredi premier juin. Quelque mots énoncés lors du premier cours par Virginie m'ont fait cogité, à savoir : "faite germer votre fleur intérieur... faite la éclore... passer par une transformation...*". Après réflexion, nul besoin d'aller acheter des graines de fleur pour ensuite les avaler avec un verre d'eau en espérant qu'il y ait une jolie (ou des jolies) fleur qui pousse à l'intérieur de soi. Cela serait stupide, quoique, on ne sait jamais, avec des graines magiques...
Plus sérieusement, l'idée de faire germer notre fleur intérieur me rappel un ouvrage que j'ai acheté et lu il y a quelques années. Le livre s'intitule : "le secret de la fleur d'or" (de "LU TSOU") suivie du "livre de la conscience et de la vie" (traduction par "LIOU TSE HOUA", édition Librairie de Médicis). Cette ouvrage nous explique les différentes étapes d'une transformation intérieur (alchimie taoiste). Je me permet de citer ce livre car je pense qu'il fait écho au travail que l'on fait au "dojo" et aux quelques mots* cités précédement. Notamment concernant l'aspect de la transformation, cela me fait penser aux "goggyo" version jardinage, je m'explique.
Au départ, avant de planter une graine et de la faire germer, il faut une bonne terre, de bonne base, un bon "chi" (un bon "qi" ?), car la terre doit être adapté à la graine. Ensuite, une fois la terre étant en place, on passe à la germination, cet à dire à l'eau, car peu de graine germe sans eau. Cela dit, il faut une bonne eau et en quantité adéquate sinon ce n'est pas bon pour la plante. Après entre en jeu la lumière, la chaleur, autrement dit le feux qui va permettre d'amener avec l'aide de la terre et de l'eau une croissance optimale à cette plante. Encore une fois, chaque élément à son importance, et rien ai bon dans l'excès (bien souvent...) comme on a l'habitude de dire dans la vie. Une fois la croissance lancé, entre en jeu, le vent qui va fortifier la plante, afin de préparer la phase floraison. Sans le travail du vent, la tige aura des difficultés à supporter la présence d'une fleur, elle se pliera complètement sous le poids de la fleur, ce qui aura pour effet d'écourter la vie de celle ci. La floraison, je me permet de la mettre en "ku" puisque c'est une fleur intérieur, par conséquent elle n'a pas de nom, pas de forme, pas de couleur, et pas d'odeur.
Les "goggyo" du jardinage intérieur cela me fait penser à un petit jardin secret, à cultiver en soi. Quand j'entend les mots, "fleur intérieur" cela me renvoie à la culture chinoise, tout particulièrement "taoiste" si on peut la nommer ainsi. J'ajouterais, que je n'ai pas encore eu la volonté (mots qui à été énoncé lors de ce cours...) de mettre en pratique le parcours initiatique énoncé dans cet ouvrage malgrès le fait qu'il me semble digne d'intêret. Pour information, à chaque fois que je remet le nez dedans, je constate que je ne suis pas prêt, et qu'il y a des choses à régler avant d'aller faire germer ma graine intérieur. A la lecture de ce livre et dans la pratique au "dojo", on comprend bien l'importance du dicton "chaque chose en son temps". On ne plante pas une graine de capucine dans un sol gelé, sauf si on veut perdre sa graine !
Les cours de ce mercredi premier juin, m'ont permis de constaté, qu'il est plus facile de créer de la dualité, et de l'opposition, plutôt que de mettre en place de l'harmonie (en soi et/ou bien avec les autres...). Créer de l'harmonie demande plus qu'un effort, j'ai l'impression que cela implique un dépassement de soi.
Merci à mes professeurs pour ce cours retour JAPON.
Raphaël.
Plus sérieusement, l'idée de faire germer notre fleur intérieur me rappel un ouvrage que j'ai acheté et lu il y a quelques années. Le livre s'intitule : "le secret de la fleur d'or" (de "LU TSOU") suivie du "livre de la conscience et de la vie" (traduction par "LIOU TSE HOUA", édition Librairie de Médicis). Cette ouvrage nous explique les différentes étapes d'une transformation intérieur (alchimie taoiste). Je me permet de citer ce livre car je pense qu'il fait écho au travail que l'on fait au "dojo" et aux quelques mots* cités précédement. Notamment concernant l'aspect de la transformation, cela me fait penser aux "goggyo" version jardinage, je m'explique.
Au départ, avant de planter une graine et de la faire germer, il faut une bonne terre, de bonne base, un bon "chi" (un bon "qi" ?), car la terre doit être adapté à la graine. Ensuite, une fois la terre étant en place, on passe à la germination, cet à dire à l'eau, car peu de graine germe sans eau. Cela dit, il faut une bonne eau et en quantité adéquate sinon ce n'est pas bon pour la plante. Après entre en jeu la lumière, la chaleur, autrement dit le feux qui va permettre d'amener avec l'aide de la terre et de l'eau une croissance optimale à cette plante. Encore une fois, chaque élément à son importance, et rien ai bon dans l'excès (bien souvent...) comme on a l'habitude de dire dans la vie. Une fois la croissance lancé, entre en jeu, le vent qui va fortifier la plante, afin de préparer la phase floraison. Sans le travail du vent, la tige aura des difficultés à supporter la présence d'une fleur, elle se pliera complètement sous le poids de la fleur, ce qui aura pour effet d'écourter la vie de celle ci. La floraison, je me permet de la mettre en "ku" puisque c'est une fleur intérieur, par conséquent elle n'a pas de nom, pas de forme, pas de couleur, et pas d'odeur.
Les "goggyo" du jardinage intérieur cela me fait penser à un petit jardin secret, à cultiver en soi. Quand j'entend les mots, "fleur intérieur" cela me renvoie à la culture chinoise, tout particulièrement "taoiste" si on peut la nommer ainsi. J'ajouterais, que je n'ai pas encore eu la volonté (mots qui à été énoncé lors de ce cours...) de mettre en pratique le parcours initiatique énoncé dans cet ouvrage malgrès le fait qu'il me semble digne d'intêret. Pour information, à chaque fois que je remet le nez dedans, je constate que je ne suis pas prêt, et qu'il y a des choses à régler avant d'aller faire germer ma graine intérieur. A la lecture de ce livre et dans la pratique au "dojo", on comprend bien l'importance du dicton "chaque chose en son temps". On ne plante pas une graine de capucine dans un sol gelé, sauf si on veut perdre sa graine !
Les cours de ce mercredi premier juin, m'ont permis de constaté, qu'il est plus facile de créer de la dualité, et de l'opposition, plutôt que de mettre en place de l'harmonie (en soi et/ou bien avec les autres...). Créer de l'harmonie demande plus qu'un effort, j'ai l'impression que cela implique un dépassement de soi.
Merci à mes professeurs pour ce cours retour JAPON.
Raphaël.
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