Lundi 27 Septembre

Le cours a débuté par des corrections sur les postures en Ichimonji tout en insistant qu'il faut faire un effort.

Enfin on a eu la démonstration de la course Ninja, en déséquilibre et le parallèle avec le fait de bloquer le bassin (???)et se laisser porter par l'élan en avant lors des techniques.
En fait c'est plutôt le fait de garder un dos droit et verrouillé" d'après ce que j'ai compris.
Cette cours en déséquilibre me rappelle un marathon de 15 km dans la boue, ce jour là sans le savoir je courais très penché en avant, et je me laissais porter par le déséquilibre ; j'avais peut être une posture bizarre ; mais comme j'étais à bout de force c'était la seule façon que j'avais trouvé de continuer en courant et au moins j'avais dépassé des personnes
bien plus chevronnées.
Encore une fois comme pour les techniques, on reste dans l'utilisation du corps de la façon la plus optimale possible.

Jean François a évoqué le fait le fait d'armer le mental, puis de lâcher , comme un avion armé par un élastique, que l'on laisse aller après. Hier à force d'enchainer les attaques , sans trop attendre, je crois je réfléchissais moins.
Peut être j'avais pas trop le temps; ou je finissais par me concentrer plus sur l'action globale, plutôt que des détails visuels, ou pensées parasites.
J'aurai envie de dire que l'on manque de sensation du mouvement, si on en avait beaucoup
plus on réfléchirait moins et que justement cela nécessite d'exspérimenter le mouvement à
l'extrême pour en garder la sensation.
On nous a aussi cité l'inconfort, et la vie en général où il vaudrait mieux faire des efforts.

Gambatte.

Julio écrit: "On nous a aussi cité l'inconfort, et la vie en général où il vaudrait mieux faire des efforts." Je pense que tu aurais pu davantage développer cette partie du cours. Surtout si tu en parles dans ton post....

Donc pour amener quelques précisions, la question que Jean-François nous a posée est: Peut-on évoluer dans le confort?
Il y a un juste milieu entre l'inconfort et le confort.....celui qui a faim, ne prend pas le temps de la réflexion. Ainsi que celui qui n'a plus faim et qui s'empiffre. Le juste milieu serait de manger à sa faim, d'avoir le ventre plein et de réfléchir (d'évoluer).
Cette interrogation remet en question notre façon de vivre. Chacun peut réfléchir à ce qu'est le confort. C'est subjectif, mais aussi on nous inculque une idée de confort, depuis que l'on est tout petit, dans notre société occidentale.
Exemple: avoir le bac, faire des études, avoir une Rolex à 50 ans....

A propos de l'effort: cela ne demande qu'un instant.

Dans vos posts, c'est pas mal d'"énumérer" ce qui a été dit au cours mais c'est encore beaucoup mieux de développer une ou plusieurs idées....si vous voulez que les gens rebondissent sur ce que vous dites!