Lundi 12 Septembre :

On a commencé avec les Ukemi, disons que ça a pas été brillant pour ma part , même sur la Yoko Ukemi
où apparemment il ne s'agissait pas de roulé de coté sur le dos, en fait je croyais savoir , comme souvent je crois savoir
malheureusement !. Je crois j'ai pas compris le placement des bras et mains à respecter, c'est pas un Ukemi
que l'on avait vu ou pas souvent pour ma part.

Après , on a vu beaucoup de Omote Gyaku sur Fudoken et sur attaque en Keri.
on a pu travailler avec l'idée de faire un tout petit déplacement sur une attaque en Keri, voire se laisser frôler par l'attaque un peu dans le style de Seno Sensei. C'est vrai que le déplacement uniquement peut changer un échange entre Uke et Tori sans avoir à gaspiller son énergie.
Il faudra que je diminuer encore la vitesse et pratique plus doucement , plus en sensation; que je prennes mon temps ?
Un autre point super important que j'avais oublié est de travailler dans la douceur, j'étais resté Tori en mode combat, où Uke n'a qu'une envie qui est rester bien éveillé et combattre. Quand je déviais sa jambe j'tais trop en opposition et en mode "combat". Alors que la douceur dans le contact et avoir à l'esprit l'envie de rester doux c'est ce qui fait la différence, Uke croyant qu'il n'y a plus de combat ou qu'il peut fair ce qu'il veut. C'est comme si on devait prendre soin de Uke, et comme on avait déjà vu , le faire se sentir bien.C'est un des grands principes que je dois développer.

On a eu une parenthèse sur le Ninjustu et que l'on peut influencer les choses.
Disons que si l'on voit une "bagarre" ou conflit et que l'on sent qu'une des personnes est vraiment prise à partie et plus faible, alors oui, on doit agir , du moins si l'on voit que c'est possible ou si les conditions le permettent et ne mettent aps en danger d'autres choses, ou au moins essayer de dialoguer.
Ca m'est arrivé il y a un an je crois dans le RER. Sur le quai assez vide il y avait un monsieur plutôt imposant qui arrêtait pas de s'énerver après un autre en costume cravate qui lui regardait son journal et n'osait pas lever les yeux. Je suis allé voir celui qui était énervé, qu'il ai tort ou raison, je lui ai dit : "Laissez tomber, ça sert à rien, tout le monde s'énerve dans les transports, ça n'en vaut pas le coup".
Je crois ça l'a calmé , il continuait un peut et j'ai juste pausé ma main sur son épaule du style "ça ne sert à rien mon ami", et je lui ai répété à peu près les mêmes choses et il a fini par rejoindre sa femme derrière qui elle apparemment n'avait pas levé le petit doight. Disons que de petites action peuvent changer des choses.
Pour ce qui est de séparer un alcoolique d'un couple, je crois que c'est la meilleure chose, mon père ayant toujours été un alcoolique, après ses 30 ans je crois, ça l'a détruit, et disons ça a détruit la vie familiale et ça n'apporte strictement rien de bon au niveau épanouissement. Je crois qu'il vaut mieux les séparer plutôt que la mère vive non épanouie avec de la peur et que l'enfant ait à vivre toute cela.
Une séparation pour le meilleur, des choses à oublier et à pardonner peut être !
C'est ce que j'ai toujours aimé dans les arts martiaux ou "sports martiaux" avant, que celui qui est moins ai les moyens de se protéger et protéger les autres