Lundi 11 janvier 2010
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Lundi 11 janvier 2010
Retour de cours, la pratique des "san po no kata" est assez douloureuse, notamment avec "jumonji no kata" ("boshi ken" à "butsu metsu").
En ce qui concerne la notion de douloureur dans un "kata" (donner ou recevoir une douleur...), il me faut être plus détendu (accepter de travailler, être conscient...) et davantage utiliser l'énergie de la terre (pour puiser ou inversement).
De plus, il me parait important d' être vigilent, de faire attention sur mes frappes car un peu de puissance peux s'en dégager (c'est rare). Pour exemple, lors du deuxième cours, un "shuto ken" à forcer mon partenaire de pratique à s'assoire deux minutes.
Du coup, la précision me semble être une notion à développer en parallèle à celle de la puissance. Dans un dialogue ("uke/tori") les frappes sont comme des mots dit avec des intonations variables, d'où l'utilité de savoir dialoguer dans la pratique. Le travail sur la douleur s'avère difficile sur un plan physique et mental, la pratique nous l'enseigne !
Sur "omote gyaku" (forme numéro 1, linéaire...), le travail des jambes est primordiale, alors que le haut du corps est présent sans force (et peu solicité...). Dans la vie quotidienne c'est l'inverse, on fait plus appel au haut du corps qu'au bas (c'est peut être pour ça que c'est difficile à aborder comme forme ?).
Avec "nigi gen/san gi gen/ yugen no sekaï", suivant son "uke"(ou "tori") c'est plus ou moin difficile à pratiquer... cela dit, c'est toujours exaltant !
Merci, à bientôt.
En ce qui concerne la notion de douloureur dans un "kata" (donner ou recevoir une douleur...), il me faut être plus détendu (accepter de travailler, être conscient...) et davantage utiliser l'énergie de la terre (pour puiser ou inversement).
De plus, il me parait important d' être vigilent, de faire attention sur mes frappes car un peu de puissance peux s'en dégager (c'est rare). Pour exemple, lors du deuxième cours, un "shuto ken" à forcer mon partenaire de pratique à s'assoire deux minutes.
Du coup, la précision me semble être une notion à développer en parallèle à celle de la puissance. Dans un dialogue ("uke/tori") les frappes sont comme des mots dit avec des intonations variables, d'où l'utilité de savoir dialoguer dans la pratique. Le travail sur la douleur s'avère difficile sur un plan physique et mental, la pratique nous l'enseigne !
Sur "omote gyaku" (forme numéro 1, linéaire...), le travail des jambes est primordiale, alors que le haut du corps est présent sans force (et peu solicité...). Dans la vie quotidienne c'est l'inverse, on fait plus appel au haut du corps qu'au bas (c'est peut être pour ça que c'est difficile à aborder comme forme ?).
Avec "nigi gen/san gi gen/ yugen no sekaï", suivant son "uke"(ou "tori") c'est plus ou moin difficile à pratiquer... cela dit, c'est toujours exaltant !
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