lundi 25 janvier 2010
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lundi 25 janvier 2010
retour de cours, dans le "nin jutsu" il faut avoir une approche silencieuse... en ce qui me concerne, je fais beaucoup trop de bruit quand je respire ou expire (assouplissement, méditation, pratique "uke/tori", ...), c'est sans doute dû à la mauvaise qualité de ma respiration (pas assez calme et profonde d'après mon mental). Dans la pratique du "taï chi chuan / chi gong", on m'avait fait comprendre que "la respiration c'est la clef de voûte de la pratrique". Il me semble qu'en "nin jutsu" la respiration est très importante aussi (pour la concentration, la santé...).
Le travail sur l'amplitude avec l'image d'un élastique que l'on tend au maximum pour le lacher d'un coup (la frappe). Il nous faut travailler sur l' élasticité de notre corps (souplesse, musculation,...) afin d'améliorer notre amplitude, ce qui s'avère douloureux !
Provoquer des ouvertures sur le corps de "uke" :
- Avec des feintes provoqué par des objets, ce qui à pour effet de jouer sur la peur de l'autre.
- Avec le fait de faire une attaque à moitié, l'impression que l'on dérobe les coups que l'on porte (un aspect furtif s'en dégage).
- Avec la corde c'est "uke" qui créer ses ouvertures tout seul, plus "uke" se débat plus le piège se referme. Importance du lien entre "uke/tori", (être à l'écoute) ce lien existe que par la qualité de présence dans l'échange ("le contraitre de la vitesse c'est la présence" m'a t'on dit, à méditer en ce qui me concerne).
- Avec les formes internes, qui apparaissent en créant son monde intérieur (de ce que j'ai cru comprendre), on peut provoquer une ouverture sans provoquer l'ouverture (proche de la notion de non combat).
- Avec le fait de donner une douleur pour créer une ouverture, la conscience me semble jouer un rôle important dans la mise en place (non force).
- Avec le travail en "forme libre", les mouvements apparaissent d'eux même à condition que le mental se taise pour que le corps puisse travailler (surprendre, se surprendre...). Dans les "formes libres", "uke/tori" provoquent les ouvertures (notion d'improvisation).
merci, à bientôt.
Le travail sur l'amplitude avec l'image d'un élastique que l'on tend au maximum pour le lacher d'un coup (la frappe). Il nous faut travailler sur l' élasticité de notre corps (souplesse, musculation,...) afin d'améliorer notre amplitude, ce qui s'avère douloureux !
Provoquer des ouvertures sur le corps de "uke" :
- Avec des feintes provoqué par des objets, ce qui à pour effet de jouer sur la peur de l'autre.
- Avec le fait de faire une attaque à moitié, l'impression que l'on dérobe les coups que l'on porte (un aspect furtif s'en dégage).
- Avec la corde c'est "uke" qui créer ses ouvertures tout seul, plus "uke" se débat plus le piège se referme. Importance du lien entre "uke/tori", (être à l'écoute) ce lien existe que par la qualité de présence dans l'échange ("le contraitre de la vitesse c'est la présence" m'a t'on dit, à méditer en ce qui me concerne).
- Avec les formes internes, qui apparaissent en créant son monde intérieur (de ce que j'ai cru comprendre), on peut provoquer une ouverture sans provoquer l'ouverture (proche de la notion de non combat).
- Avec le fait de donner une douleur pour créer une ouverture, la conscience me semble jouer un rôle important dans la mise en place (non force).
- Avec le travail en "forme libre", les mouvements apparaissent d'eux même à condition que le mental se taise pour que le corps puisse travailler (surprendre, se surprendre...). Dans les "formes libres", "uke/tori" provoquent les ouvertures (notion d'improvisation).
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