mercredi 17 février 2010

Retour de cours, on a chanté "le beau danube bleu" (de Johann STRAUSS) ! Chanter nous permet de ne pas focaliser sur la douleur que provoque la marche en "iaï goshi no kamae".

Les roulades, c'est difficile de rouler sans appréender la roulade. L'idée que si on focalise sur un point de détail souvent un autre point de détail est oublié... rouler avec naturel c'est pas rouler pour rouler ! comme nous avons pu le constater, les roulades et les chutes sont redoutables comme "famille" de combat.

La technique de projection "projeter le caillou" s'avère surprenante lorsque l'on nous montre les variantes de celle ci. Une redécouverte en ce qui me concerne !

Le travail sur les postures demande un état de conscience particulier, l'idée de créer un monde qui nous est propre, un état entre deux mondes (une méditation en mouvements ?). Notre vie est posture, en ce qui me concerne il y a souvent des vides (entre et dans) mes postures de la vie de tout les jours, en outre, c'est à travailler.

"Le dojo est un point de repère", l'idée que quand on est perdu si on a un point de repère c'est déjà ça. Par conséquent, se prendre en main n'est pas de tout repos, car il nous faut éviter nos propres pièges et ceux des autres. S'ouvrir aux autres me parait être essentiel dans la vie de tout les jours... en ajoutant que c'est inconfortable mais que cela fait évoluer (de prendre conscience des réalités qui nous entoure) !

Merci, à bientôt.

tu recommence a tout jeter tel un vomie moyen!!!!et démerdez vous avec cela!!!!